Êtes-vous sur le point de démarrer votre activité ? Vous pouvez
financer votre entreprise par une levée de fonds en capital-risque. Non seulement cette démarche contribue au capital de votre société, mais elle génère également des apports techniques.
Cabinet de levée de fonds à Paris, Allegra Finance fait le point sur ce type de financement.
Capital-risque : principe et fonctionnement
Apparue en France dans les années 70, la levée de fonds en capital-risque désigne un moyen par lequel un entrepreneur obtient un financement pour le démarrage de ses activités. À cet effet, il s’agit d’un type de financement adapté généralement aux jeunes entreprises, aux sociétés non cotées et aux projets innovants. En général, le montant des fonds investis se trouve entre les dizaines de milliers et les millions d’euros.
Pour l’investisseur en capital-risque, la motivation principale repose sur l’espoir de faire fructifier le fonds affecté au capital de la jeune entreprise. Ce profit lui donne la possibilité de céder sa part au fur et à mesure que le projet ou l’entreprise connait un succès. Certains bailleurs investissent également leur argent en capital-risque afin d’encourager les inventeurs et les entrepreneurs débutants à réaliser un projet ambitieux. Dans la mesure où il contribue au financement de l’entreprise naissante, l’investisseur devient un actionnaire. Il reste cependant un investisseur minoritaire.
Levée de fonds en capital-risque : pour combien de temps ?
L’objectif principal du capital-risque étant de contribuer au démarrage d’une société, la présence de l’investisseur au capital de l’entreprise n’est pas définitive. Au maximum, elle dure sept ans. Passé ce délai, le bailleur préfère se retirer. Cette sortie peut s’effectuer de diverses manières : le reclassement des titres, la cession des titres à une entreprise concurrente, l’amortissement du capital et l’entrée de l’entreprise en bourse.
Capital-risque : quels avantages pour l’entreprise ?
En obtenant une levée de fonds en capital-risque, les entrepreneurs ont le moyen de préparer et de concrétiser leurs idées. En effet, certaines raisons peuvent amener une entreprise à trouver des financements autre que ceux proposés par les banques. Tel est le cas pour une société qui, pour boucler son plan de financement, demande un budget complémentaire. Parfois aussi, les banquiers refusent d’accorder un prêt à un projet qu’ils jugent irréaliste ou irréalisable.